Comment pouvons-nous vous aider ?

Une caractéristique de la blockchain qui permet aux comptes d'utilisateurs de fonctionner avec des règles et une logique personnalisables pour le traitement des transactions, permettant de meilleures fonctionnalités telles que les approbations multi-signatures, la récupération sociale, et bien plus encore. En définitive, l'abstraction de compte transforme les comptes de portefeuille Web3 pour améliorer l'expérience de l'utilisateur.

Distribution gratuite de tokens ou de cryptomonnaies à un grand nombre de portefeuilles. Souvent utilisée comme stratégie marketing afin de promouvoir un nouveau projet, de récompenser les fidèles utilisateurs ou d'inciter à l'adoption.

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L'appel de procédure à distance (RPC) est couramment utilisé pour communiquer entre les différents composants d'un réseau blockchain. Il permet aux applications ou aux scripts de faire des demandes à un nœud de la blockchain, ce qui leur permet d'accéder aux données de la blockchain ou d'exécuter des fonctions sans avoir à exécuter eux-mêmes un nœud complet. Le RPC agit comme un pont de communication, permettant aux différentes parties de l'écosystème crypto de travailler ensemble de manière efficace.

Un échange de pair à pair de cryptoactifs provenant de différentes blockchains incompatibles qui se produit directement entre les utilisateurs sans nécessiter d'intermédiaire, garantissant que la transaction soit entièrement réalisée ou soit entièrement annulée, éliminant ainsi le risque de défaillance d'une des parties.

On parle d'attaque à 51% lorsqu'une entité ou un groupe prend le contrôle de plus de 50% de la puissance de calcul ou de minage d'un réseau blockchain, ce qui lui permet de manipuler les transactions, de dépenser deux fois les tokens ou de perturber les opérations du réseau.

BRC-20 est un standard expérimental de tokens qui permet la création et le transfert de tokens fongibles via le protocole Ordinals sur la blockchain Bitcoin

Un registre public décentralisé qui enregistre les transactions vérifiées par un réseau d'ordinateurs de pair à pair de manière sécurisée, transparente et immuable.

Un outil web permettant d'explorer l'historique des transactions et des données d'un réseau spécifique. Il offre la transparence en affichant l'historique des portefeuilles, les soldes des transactions, etc...

Une architecture de blockchain qui sépare les différents composants d'une blockchain, tels que l'exécution, le consensus et la disponibilité des données, en modules distincts qui peuvent être personnalisés et remplacés. Cela permet une plus grande flexibilité et évolutivité, ainsi que des mises à niveau et une maintenance plus faciles.

Un pont (bridge) permet aux acteurs du marché de transférer des actifs entre deux blockchains, par exemple d'Ethereum à Solana. Aujourd'hui, la plupart des ponts y parviennent en bloquant un actif sur une blockchain et en créant un équivalent sur l'autre blockchain. Une fonction « burn » est activée pour libérer l'actif bloqué par la suite.

Les passerelles inter-chaînes (cross-chain bridges) peuvent être classées en fonction de leur mécanisme de sécurité sous-jacent et se répartissent en plusieurs catégories :

- Les clients légers avec des ponts basés sur des relais de blocs. Contrairement à un engagement par arbre de Merkle, un client léger ne vérifie pas toutes les transactions de l'ensemble de la chaîne et part du principe que la chaîne ayant le plus de PoW ne contient que des transactions valides, ce qui élimine la nécessité d'un calcul lourd.

- Ponts basés sur des oracles. Wormhole est un exemple de pont basé sur Oracle, où la confiance repose sur le réseau d'oracles plutôt que sur la blockchain, et qui est alimenté par son propre mécanisme de consensus.

- Les ponts de liquidités inter-chaînes sont soutenus par le modèle de sécurité du protocole et sont pilotés par leur méthode de disponibilité des données, d'intégrité des retraits et de rapidité d'exécution.

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Un moyen sûr pour plusieurs parties d'analyser conjointement et de calculer des résultats sur des données sensibles sans révéler les données réelles les unes aux autres.Imaginez une situation où plusieurs personnes souhaitent effectuer ensemble un calcul, par exemple trouver la moyenne de leurs salaires, mais ne veulent pas divulguer leurs salaires individuels. MPC leur permet de calculer collectivement la moyenne sans que personne ne connaisse le salaire spécifique des autres participants.

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Une solution de mise à l'échelle sous la forme d'une chaîne indépendante qui fonctionne en parallèle d'un réseau principal tout en étant interopérable avec lui, ce qui permet de transférer des actifs entre les deux blockchains par le biais d'un pont bidirectionnel. Parmi ces réseaux, citons Polygon 1.0 et le réseau parallèle d'Axie Infinity, Ronin chain.

Chaque clé publique estassociée à une clé privée qui sert demot de passe pour débloquer les fondsd’un portefeuille.

La clé publique est uncode cryptographique permettantde recevoir des cryptoactifs. Elle estanalogue aux numéros de comptepour les transferts de valeur surune blockchain.

Une situation dans laquelle le réseau est surchargé de transactions, ce qui entraîne des retards dans le traitement et des frais plus élevés. Cela se produit souvent lorsque le volume des transactions dépasse la capacité de traitement du réseau.

Une monnaie numérique qui utilise la cryptographie pour la sécurité, qui fonctionne sur un réseau décentralisé (typiquement une blockchain) et qui permet des transactions de pair à pair sans avoir besoin d'intermédiaires comme les banques.

L'utilisation d'algorithmes mathématiques pour sécuriser les données et les transactions sur le réseau. Il garantit la confidentialité, l'intégrité et l'authenticité en chiffrant les données, en vérifiant les signatures et en générant une clé cryptographique.

Data storage solutions that distribute files across a network of nodes or computers, rather than relying on a central server, enhancing security, privacy, and resilience by eliminating single points of failure.

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La tentative frauduleuse de dépenser deux fois le même token. La technologie blockchain atténue ce risque en créant un grand registre partagé et public qui enregistre de manière transparente toutes les transactions, ce qui rend impossible la modification ou l'effacement de l'historique des opérations.

La distribution du contrôle, de l'autorité et de la prise de décision à travers un réseau de participants au lieu d'être concentrée en une seule entité.

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Un écosystème financier construit sur la technologie blockchain qui fournit des services financiers traditionnels tels que le prêt, l'emprunt, le commerce et l'investissement sans intermédiaires tels que les banques, en utilisant des smart contracts et des applications décentralisées (dApps) pour automatiser et exécuter des transactions de manière transparente et sécurisée.

Frais payés en fractions infimes du token natif afin de récompenser les validateurs pour le traitement des transactions. Ces frais permettent également de contrôler la congestion du réseau en incitant les utilisateurs à n'effectuer que des transactions indispensables et non des transactions inutiles.

Une condition fixée dans le protocole Bitcoin qui réduit la récompense du bloc de moitié tous les 210 000 blocs (environ tous les quatre ans). Cet événement permet de contrôler l'offre de nouveaux bitcoins, de réduire l'inflation et de plafonner l'offre totale à 21 millions de coins.

Une mise à jour importante du protocole d'une blockchain qui n'est pas rétrocompatible et qui entraîne une séparation permanente de la chaîne d'origine. Elle crée deux blockchains distinctes : l'une qui suit les anciennes règles et l'autre qui suit les nouvelles règles. Les Hard Forks se produisent lorsque les utilisateurs et les nœuds qui soutiennent le réseau ne sont pas d'accord sur la direction que prend le protocole. Ils divisent donc le réseau en deux directions pour tenir compte de la diversité des opinions. Parmi les exemples, citons le Bitcoin Cash qui s'est séparé du Bitcoin.

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Les identités reposant sur des réseaux publics tels qu'Ethereum et Polygon permettent aux utilisateurs de gérer leurs informations personnelles sans dépendre d'autorités centralisées. Les identifiants décentralisés (DID) renforcent non seulement la protection de la vie privée en réduisant la dépendance à l'égard des bases de données centralisées, mais permettent également aux utilisateurs de partager de manière sélective uniquement les informations essentielles pertinentes pour leurs activités en cours. Cette approche garantit un enregistrement immuable et infalsifiable des données, renforçant à la fois la sécurité et le contrôle de l'utilisateur sur les informations personnelles.

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Un secteur émergent dans l'espace crypto conçu pour tirer parti des tokens et des récompenses afin de construire une meilleure infrastructure physique dans le monde réel. Les exemples incluent les réseaux sans fil comme Helium, les solutions de stockage de données comme Filecoin et Arweave, et les réseaux de distribution d'énergie comme Energy Web. Le principe directeur de ce mouvement est de réduire la dépendance à l'égard des grandes entités et de favoriser l'émergence d'une nouvelle économie de partage basée sur un modèle décentralisé.

L'Initial Coin Offering est une méthode de collecte de fonds utilisée par les projets blockchain, où ils émettent et vendent leurs propres tokens aux investisseurs. Les investisseurs achètent ces tokens dans l'attente de rendements futurs ou d'un accès aux produits ou services du projet.

Des métadonnées rattachées directement à des unités individuelles de cryptomonnaies, par exemple sur des Satoshis dans le réseau Bitcoin. Ces métadonnées englobent différents types de données comme du texte, des images, des vidéos ou du code, ce qui permet d'utiliser des fonctionnalités similaires à celles des NFT sur le réseau Bitcoin.

La capacité de différentes blockchains à communiquer entre elles. Par définition, elle permet le transfert d'informations et de valeurs entre des blockchains à l'origine incompatibles, créant ainsi un écosystème plus cohérent qui dépasse les cloisonnements des blockchains traditionnelles.

La couche zéro (Layer 0) est comme la fondation sous la solution de première couche (Layer 1). Alors que la première couche est la blockchain elle-même (comme Bitcoin ou Ethereum), la couche zéro est l'infrastructure sous-jacente qui permet à plusieurs blockchains d'être créées et d'interagir les unes avec les autres. Dans le cas contraire, les premières couches construites avec une architecture monolithique fonctionneraient en vase clos. Si les blockchains de première couche sont représentées dans un quartier de maisons, la couche zéro serait le travail de fond, comme les routes, les lignes électriques et la plomberie, qui relient ces maisons. Sans ce travail de fond, les maisons seraient isolées et ne pourraient pas partager leurs ressources ou interagir les unes avec les autres. Cette verticale comprend des réseaux tels que Cosmos, Polkadot, LayerZero, etc...

Agissant comme la couche de base, les réseaux de première couche (Layer 1) fournissent la sécurité et la structure fondamentales pour d'autres protocoles ou applications. Il s'agit par exemple de Bitcoin, Ethereum et d'autres grandes blockchains. Ces blockchains gèrent les transactions, la sécurité et les smart contracts, mais elles peuvent devenir lentes ou coûteuses lorsqu'un trop grand nombre de personnes les utilisent simultanément. Imaginez une autoroute très fréquentée : lorsqu'il y a trop de voitures (transactions), le trafic s'intensifie et tout ralentit.

La seconde couche (Layer 2) est construite au-dessus de la première couche (Layer 1) afin d'atténuer les problèmes de congestion auxquels sont confrontées de nombreuses blockchains de première couche (Layer 1). C'est comme si l'on créait des voies supplémentaires ou des routes secondaires qui détournent une partie du trafic de l'autoroute principale, de la même manière que l'ADSL a résolu le problème de la connexion à l'internet par ligne commutée. Les solutions de seconde couche traitent les transactions en dehors de la blockchain principale, puis renvoient les résultats finaux à la première couche afin que la blockchain principale ne soit pas trop saturée. Cela rend les opérations plus rapides et moins coûteuses sans compromettre la sécurité, car les solutions de seconde couche comme Arbitrum et Optimism héritent généralement des mécanismes de sécurité de la première couche sur laquelle elles sont construites.

Une solution de mise à l'échelle basée sur le bitcoin qui permet des transactions plus rapides et moins chères par le biais d'un réseau de canaux de paiement. Ces canaux fonctionnent en dehors de la chaîne, ce qui permet des règlements plus rapides et des frais moins élevés que pour les transactions traditionnelles en bitcoins.

Tout comme les tokens Liquid Staking (LST), les tokens Liquid Restaking peuvent également être considérés comme une reconnaissance de dette représentant le dépôt des utilisateurs dans les protocoles de staking construits au-dessus des protocoles de restaking comme EigenLayer. Cela permet aux utilisateurs d'accumuler du rendement à partir d'activités de re-staking tout en utilisant des tokens semblables à des reçus afin de participer à des activités DeFi telles que le prêt, l'emprunt et l'accès à l'effet de levier.

L'introduction du concept de Liquid Staking tente de résoudre les obstacles associés à la participation au staking d'ETH : illiquidité, immobilité et inaccessibilité en transformant le capital bloqué en capital liquide. Ce concept permet de « liquéfier » la position mise en staking ; un token de reçu est délivré à l'utilisateur lors du dépôt d'ETH en staking. En d'autres termes, une reconnaissance de dette (IOU). En permettant à l'utilisateur de sortir immédiatement d'une dépôt en staking (par la vente du token de reçu), il a accès à des liquidités supplémentaires, ce qui crée un marché (secondaire).

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La machine virtuelle Ethereum (EVM) est en quelque sorte le « cerveau » d'Ethereum, de la même manière que le système d'exploitation Mac (macOS) est le cerveau d'un ordinateur Mac. Elle contient un moteur qui lit, comprend et exécute les smart contracts. Il maintient également l'état de la blockchain Ethereum en suivant des éléments tels que les soldes des comptes, la propriété des tokens et l'historique de toutes les transactions. Le système d'exploitation EVM est devenu une pierre angulaire de l'économie blockchain, de sorte que de nombreuses blockchains alternatives tentent maintenant de construire des systèmes compatibles avec l'EVM.

Une zone d'attente pour les transactions crypto où elles font essentiellement la queue avant d'être confirmées et ajoutées à la blockchain par les mineurs ou les validateurs. Il s'agit d'un élément essentiel du processus de transaction dans les réseaux blockchain.

Le processus par lequel de nouveaux blocs sont créés sur la blockchain Bitcoin, où des individus connus sous le nom de mineurs utilisent du matériel informatique pour résoudre des problèmes mathématiques complexes afin d'être récompensés par des bitcoins une fois leurs opérations terminées avec succès. Pour simplifier, le minage est utilisé pour valider les transactions sur le réseau Bitcoin afin d'en assurer la sécurité.

Une forme numérique de la monnaie officielle d'un pays émise et réglementée par sa banque centrale. Contrairement aux cryptoactifs comme bitcoin et Ethereum, les CBDC sont généralement centralisées et représentent une version numérisée de la monnaie nationale. Les CBDC visent à fournir un moyen sûr et efficace de paiements numériques tout en restant sous le contrôle et la surveillance de l'autorité monétaire centrale.

Un mécanisme utilisé par les blockchains pour convenir de la validité des transactions et maintenir l'intégrité du grand registre, en veillant à ce que tous les participants du réseau parviennent à un accord commun sur l'état de la blockchain.

Pour que la blockchain fonctionne, chaque nœud (utilisateur) doit avoir accès à la même base de données, continuellement mise à jour. Lorsque de nouvelles données sont ajoutées au réseau, la majorité des nœuds doivent vérifier et confirmer la légitimité des nouvelles données sur la base de permissions ou d'incitations financières ; c'est ce qu'on appelle les mécanismes de consensus. Un nouveau bloc est créé et attaché à la chaîne lorsqu'un consensus est atteint.

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Les ordinateurs individuels d'un réseau blockchain qui travaillent ensemble pour valider les transactions, maintenir un grand livre distribué (la blockchain) et sécuriser le réseau en assurant sa décentralisation.

Le terme « on-chain » fait référence aux actions ou aux transactions qui ont lieu sur un réseau blockchain. Ces transactions sont enregistrées en permanence sur le grand registre de la blockchain, visibles par tous les participants et sécurisées par la nature décentralisée de la blockchain. D'autre part, le terme « off-chain » fait référence aux transactions qui ont lieu en dehors de la blockchain, ce qui peut inclure des accords ou des interactions qui ne sont pas enregistrés directement sur la blockchain.

A crypto oracle serves as a source of external data for smart contracts. It retrieves real-world information, such as stock prices, weather conditions, or sports scores, and provides this information to smart contracts so they can make decisions based on real-world data.

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Think of it as a messenger that brings real-world data into the blockchain world, allowing smart contracts to react to and execute based on information beyond the blockchain itself. This connection to external data helps make blockchain applications more versatile and applicable to a wider range of use cases.

Les Bitcoin Ordinals ont été introduits en janvier 2023 comme méthode pour générer des NFT Bitcoin en attachant des informations à des satoshis individuels. Cela se fait par un processus appelé « inscription », qui est analogue au dessin ou à l'écriture de messages sur un billet d'un dollar.

Une organisation basée sur la blockchain gouvernée par des smart contracts et des membres de la communauté par le biais d'un vote décentralisé, où les décisions sont prises collectivement sans un leadership centralisé.

Une phrase secrète de récupération constitue la sauvegarde de toutes les clés privées. Elle permet de récupérer des fonds, même en cas d'absence du portefeuille ou de l'appareil d'origine.

Les principales plateformes d'achat et de vente de cryptoactifs en monnaie fiduciaire. Elles fonctionnent de la même manière que les plateformes boursières, en s'appuyant sur des systèmes de carnet d'ordres tout en offrant des interfaces utilisateur intuitives.

Une plateforme d'échanges construite sur une blockchain qui facilite l'achat et la vente de tokens d'une manière non centralisée. La technologie de fixation des prix utilisée est connue sous le nom d'Automated Market Maker (AMM).

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Un logiciel qui sécurise et dissimule vos clés privées.

Un portefeuille connecté à Internet quistocke des clés privées.Ces portefeuilles sont généralementplus faciles à utiliser, mais tendentà être plus vulnérables aux logicielsmalveillants et aux piratages par rapport aux stockages hors-ligne.

Un portefeuille hors ligne est undispositif physique qui stocke les clésprivées dans un environnement isolé,similaire à un coffre-fort. L’avantagede l’utilisation d’un portefeuille horsligne est qu’il fonctionne dans unenvironnement clos, à l’écart d’Internetet des menaces associées.

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Un mécanisme qui sélectionne les créateurs de blocs sur la base de la contribution d'un participant, comme le nombre de tokens qu'il détient ou la durée de sa participation au réseau.

Un élément de données permettant d'ajouter de nouvelles transactions sur une blockchain. Le PoW est difficile à produire mais facile à vérifier par d'autres. Il est utilisé dans les mécanismes de consensus de certains réseaux crypto comme le Bitcoin.

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Un document formel décrivant une proposition de changement ou d'ajout au protocole Ethereum. Les EIP servent de dispositif à la communauté Ethereum pour proposer, discuter et mettre en œuvre de manière collaborative des améliorations au réseau.

Un type de prêt qui ne nécessite pas de garantie et qui doit être emprunté et remboursé au cours de la même transaction blockchain. Si le prêt n'est pas remboursé au cours de la transaction, toute l'opération est annulée, ce qui minimise le risque pour le prêteur.

Le ratio prix/frais (P/F) dans les cryptoactifs mesure la relation entre le prix du marché d'un token et les frais de transaction générés par son réseau. Il permet d'évaluer la rentabilité et l'efficacité d'utilisation d'une blockchain. Un ratio P/F plus faible suggère que le réseau génère des frais plus élevés par rapport à son prix, ce qui indique une forte demande ou une grande efficacité, tandis qu'un ratio plus élevé peut suggérer une surévaluation ou une faible activité du réseau. Cette mesure est souvent utilisée pour évaluer la durabilité et la santé des écosystèmes décentralisés.

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An adjustment mechanism where the total supply of a token is automatically altered periodically to maintain a target price. Unlike a traditional split, this change in supply does not affect the proportional ownership of holders. If the token price is above the target, the supply increases (positive rebase), lowering the price. Conversely, if the price is below the target, the supply decreases (negative rebase), raising the price. This mechanism aims to stabilize the token’s value while maintaining its market capitalization.

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Il s'agit du retour sur investissement généré par diverses activités liées aux cryptomonnaies. Différents mécanismes permettent aux utilisateurs de gagner des crypto ou des tokens supplémentaires, tels que le staking, les prêts (lending), l'apport de liquidités et le minage (mining)

Le restaking permet aux utilisateurs de miser le même token ETH à la fois sur Ethereum et sur d'autres protocoles, en sécurisant tous ces réseaux simultanément. Par conséquent, le restaking permet de tirer parti des réseaux de confiance existants. En d'autres termes, il permet aux utilisateurs de réhypothéquer l'ETH mis en jeu pour sécuriser des réseaux externes au-delà de l'ETH.Toutefois, lorsque les utilisateurs choisissent de reprendre leur ETH, ils s'exposent à un risque accru de perte. Par conséquent, ceux qui reprennent leur ETH sont récompensés par des primes de mise plus élevées pour avoir pris plus de risques.

Un rollup est un regroupement de transactions en dehors de la chaîne qui doit également être traité en dehors de la chaîne avant le règlement sur la chaîne et est souvent considéré comme une solution de haut débit. Les rollups sont un exemple de blockchain modulaire. Une chaîne de rollup traite les transactions mais externalise le consensus, la disponibilité des données et le règlement à la chaîne mère.

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Dans un réseau blockchain, la récompense d'un bloc incite les mineurs ou les validateurs à ajouter avec succès un nouveau bloc à la blockchain.

La mise en œuvre de techniques visant à améliorer la capacité d'une blockchain à traiter efficacement les transactions au fur et à mesure que le réseau se développe. Des défis tels que le flux de transactions limité et les frais élevés nécessitent des solutions de mise à l'échelle. Ces solutions peuvent impliquer l'augmentation de la taille des blocs, le partage ou l'utilisation de protocoles de seconde couche (Layer 2) qui traitent les transactions en dehors de la chaîne tout en s'appuyant sur la chaîne principale pour la sécurité.

Le sharding est une technique utilisée pour améliorer la scalabilité des réseaux blockchain en divisant le réseau en portions plus petites appelées « shards ». Chaque shard est responsable de la maintenance de sa propre partie des données de la blockchain et communique avec les autres pour s'assurer que l'ensemble du réseau reste cohérent. Ils traitent également les transactions de manière indépendante, ce qui augmente considérablement le débit global du réseau.

Un mécanisme de pénalité dans les blockchains Proof of Stake (PoS) où une partie des actifs misés par un validateur est confisquée en cas de comportement malveillant, tel que la double signature ou le fait d'être hors ligne, afin de maintenir la sécurité et l'intégrité du réseau. Cela décourage les validateurs de prendre des mesures qui pourraient nuire à la sécurité du réseau.

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Un contrat auto-exécutable dont les termes sont directement inscrits dans le code et qui s'exécute sur une blockchain. Il applique et exécute automatiquement les engagements lorsque des conditions prédéfinies sont remplies, sans qu'il soit nécessaire de recourir à des intermédiaires.

Des monnaies numériques liées à la valeur de devises fiduciaires telles que le dollar américain afin de maintenir une valeur fixe.

Le processus de blocage des tokens afin d'être éligible à la vérification des transactions sur la blockchain et l'obtention de récompenses.

Les séquenceurs sont l'équivalent des validateurs, en particulier dans les solutions de seconde couche (Layer 2). Ils regroupent et ordonnent les transactions avant de les soumettre à la chaîne principale, améliorant ainsi l'efficacité et la scalabilité.

Des systèmes algorithmiques simplifiés conçus pour faciliter l'échange d'actifs numériques sans avoir recours aux carnets d'ordres traditionnels et aux intermédiaires. Les AMM sont couramment utilisés dans les échanges décentralisés pour faciliter l'exécution des swaps.

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La mise à jour a été effectuée en septembre 2022 et a marqué une étape importante pour Ethereum, qui est passée de Proof-of-Work à Proof-of-Stake. The Merge fait référence à la convergence du réseau principal d'origine d'Ethereum avec une blockchain Proof-of-Stake distincte appelée Beacon Chain, qui constitue désormais une seule et même chaîne.

Un ensemble de règles et de spécificités techniques qui régissent la façon dont les tokens sont créés, émis et interagissent sur une blockchain. Ces normes garantissent la compatibilité et la cohérence, permettant aux développeurs de créer des tokens au comportement prévisible et aux portefeuilles et applications d'interagir avec eux de manière transparente. Les exemples comprennent l'ERC-20 pour les tokens fongibles et l'ERC-721 pour les tokens non fongibles (NFT) sur Ethereum.

La standardisation de l'interopérabilité des tokens (OFT) proposée par LayerZero permet aux tokens d'être représentés sur plusieurs chaînes sans avoir recours à des ponts ou à des versions de tokens indexées. En d'autres termes, le standard permet au token d'exister nativement sur plusieurs chaînes par le biais d'un mécanisme « burn and mint », analogue aux créations et rachats d'ETF, tout en permettant à la liquidité et à l'offre d'être unifiées, évitant ainsi la fragmentation. Enfin, le standard OFT est compatible avec l'EVM, ce qui rend la solution composable et idéale pour l'intégration avec les plateformes existantes.

Le processus de création d'une représentation numérique de tout actif du monde réel comme les actions, les propriétés immobilières ou les obligations sur une blockchain via l'émission d'une action tokenisée de l'actif sous-jacent. Cela peut débloquer des possibilités telles que le fractionnement d'un actif, l'ouverture de son marché et l'approfondissement de sa liquidité.

Les principes économiques, les normes et les modèles de distribution des tokens au sein de l'économie crypto. En d'autres termes, il s'agit d'examiner les rôles que joue un token au sein d'une blockchain et la manière dont ses caractéristiques économiques ont un impact sur le fonctionnement global du réseau. Ainsi, la conception de la tokenomics est un aspect crucial de toute blockchain publique car elle influence le comportement des participants au sein de son réseau, aligne leurs incitations et contribue à la croissance globale de l'écosystème.

Il s'agit d'actifs numériques représentant la propriété d'un objet unique. Contrairement aux tokens, les NFT sont non fongibles, ce qui signifie que chaque token est unique et ne peut pas être échangé un à un, tout comme les cryptoactifs ou les monnaies traditionnelles dans le monde existant. Les NFT peuvent également être utilisés comme instrument sous-jacent pour symboliser des actifs du monde réel tels que des documents juridiques, des contrats ou même des informations d'identification comme des identités et des certificats.

La conviction que les blockchains ne peuvent offrir que deux des trois avantages suivants : la décentralisation, la sécurité et la scalabilité.

Une unité de cryptomonnaie qui reste après la fin d'une transaction et qui peut être utilisée comme apport lors d'une future transaction. Les UTXO représentent le solde restant qu'un utilisateur peut dépenser sur une blockchain comme Bitcoin.

Une mesure propre à la finance décentralisée (DeFi) qui évalue les cryptoactifs bloqués dans les protocoles DeFi par le biais de « smart contracts », un peu comme les actifs sous gestion (AUM) dans la finance traditionnelle.

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La quantité maximale de valeur que les mineurs ou les validateurs peuvent extraire en réorganisant, en incluant ou en excluant des transactions dans un bloc de la blockchain afin de maximiser leur gain, souvent aux dépens des utilisateurs réguliers. Cela peut entraîner des frais plus élevés, des transactions retardées et des possibilités de transactions en amont.

Se réfère à la Valeur Totale Bloquée (TVL) agrégée au sein de tous les smart contracts qui dépendent du bon fonctionnement d'un réseau d'oracle décentralisé (DON) donné. La Valeur Totale Garantie (TVS) est une mesure qui peut être utilisée afin de suivre la croissance d'un réseau d'oracles au fil du temps. À mesure que la TVS d'un réseau d'oracles augmente, la valeur économique associée à son bon fonctionnement s'accroît.

Les participants du réseau sont responsables de la validation des transactions sur la blockchain Proof-of-Stake et de la sécurisation du réseau dans le cadre de ce processus. Les validateurs jouent un rôle dans l'obtention d'un consensus sur l'état le plus récent de la blockchain. Les validateurs bloquent généralement leurs tokens en tant qu'assurance de dépôt (stake) dans la blockchain afin de gagner le droit de valider les transactions sur le réseau.  

Une méthode cryptographique qui permet à une personne de prouver à un vérificateur l'existence d'un bien ou d'une information particulière sans révéler de détails sur le bien ou l'information lui-même.